Voyage esprit

Voyages de l’esprit

Ouvert à tous Les différents bardos (de la vie, de la mort) Cet enseignement propose une perspective sur le bardo (état intermédiaire) dans laquelle on mettra l’accent sur la relation entre les différents aspects des pratiques (calme mental, vision pénétrante, préliminaires, pratique des Yidams), et l’expérience de la mort, de l’état intermédiaire et de la renaissance. Les indications données dans cet enseignement sont très pratiques et faciles à inclure dans la vie de tous les jours.   Horaires des sessions : Premier jour : 10h30 à 12h00  –  15h00 à 17h00 Dernier jour : 10h30 à 12h00  –  14h00 à 16h00   Frais de participation : 15 € par jour Il est traditionnel après avoir reçu les instructions d’un Lama, de le remercier par une offrande personnelle. Celle-ci est laissée à l’appréciation de chacun, présentée, individuellement ou collectivement, à la fin d’un séminaire.   Les différentes dates d'enseignement :

Retraite de Powa

Il est conseillé et souhaitable d’avoir fait la Retraite d’Amitabha et le stage Aide aux mourants. La pratique de Powa est liée à la compréhension des états intermédiaires ou bardo. Sa pratique permet de rompre l’enchainement des bardo au moment de « bardo du moment de la mort », ce qui a pour effet de libérer notre esprit en Dewatchen, nous évitant une renaissance incontrôlée sous l’effet karma. La pratique de Powa est donc un moyen habile, une méthode de libération utilisant les processus subtils se manifestants lors du décès. L’utilisation de termes tels que « transfert de conscience » ou même « éjection de l’esprit » peut effrayer, toutefois cette pratique est sans risque. C’est seulement lors du décès que l’esprit se sépare du corps pour entrer dans le « bardo du moment de la mort » : les énergies vitales empêchent que cela ne se produise accidentellement de notre vivant. La pratique de Powa et la connexion que nous développons avec Bouddha Amitabha nous permet d’apprivoiser l’idée de notre mort. Loin d’être morbide, cette approche permet de voir la mort comme une opportunité de progrès spirituel et favorise un détachement vis-à-vis de notre crainte de la mort.   […]